J'aime beaucoup ce dessin qui me parle beaucoup. Je me suis permise en citant votre blog de le partager sur le mien. Si cela vous ennuie, dites le moi. Merci pour votre très chouette blog !!
Malgré tous mes essais (même chirurgicaux) pour enlever ma "carapace de graisse" je reviens toujours au confort qu'elle me procure (eh oui...pour moi j'en viens à me dire que ça me réconforte et me sécurise) Donc je suis 1000% fois d'accord avec cette illustration !
Je suis un peu triste de lire que même les essais chirurgicaux n'en viennent pas à bout. Je n'arrive pas encore à me dire que cela est un confort. Merci de votre témoignage Claire.
"Des fois"? :) Moi je dirai : tout le temps.^^ Plus sérieusement, moi c'est la thérapie qui m'a aidée à me sécuriser autrement (même si la nourriture reste un doudou parfois).
Moi aussi, je dirais "tout le temps", et j'ajouterais, comme dans une chanson : "ça s'en va et ça revient". Les kilos perdus sont revenus, plus ou moins rapidement. Ceux enlevés par la liposuccion ont mis 3 ans pour revenir petit à petit... même à 65 ans difficile de se faire une raison... J'aime beaucoup tes dessins, Clémentine, ils viennent du cœur, sont très réalistes et très touchants.
Complètement d'accord !!! Perso, j'y vois aussi un côté "molletonné" et confortable lorsque mes filles étaient petites et qu'elles passaient leur temps SUR moi ;) ça permet aussi de se "cacher", paradoxalement, car les gens ne nous regardent pas (dans les yeux) ... etc etc. Il m'a fallu un paquet d'années pour "accepter" mes rondeurs, car je n'étais pas prête à baisser mon armure ... je crois que je commence à être prête, et suite à un burn-out, je commence à "m'attaquer" à ce que ça signifie vraiment, tout ça ... on verra ce que ça donnera !! mon objectif n'etant pas de perdre mes rondeurs, mais "juste" (ah ah ah) me sentir bien dans ma VIE.
Bonjour Clémentine, bonjour à toutes, Je vais exprimer un point de vue un peu dissonant : je n'aime pas tellement cette idée des kilos comme armure, en filigrane il y a comme l'idée que les gros.ses sont fragiles, mal dans leur peau... et finalement un peu bizarres, au moins sur le plan de la psyché. Comme si être gros, ça pouvait se soigner au même titre que la folie se soigne, au même titre qu'on pensait autrefois que l'autisme se soignait par la thérapie. Pourquoi ne pas rendre responsables plutôt la génétique, les perturbateurs endocriniens, ou tout simplement le bonheur de vivre et de ne pas trop regarder à la dépense calorique ?
Et puis, souvenez-vous, autrefois, être gros, ça signifiait être riche... en en Afrique, une femme grosse est une femme belle et une femme sage... Qu'être gros.se signifie être fragile émotionnellement aujourd'hui n'est guère plus étayé à mes yeux que quand il signifie être riche ou être beau, c'est juste encore de la biopolitique, une autre façon d'édicter la norme sociale. Bref. bonne journée :).
dans le cadre de mon boulot, j'ai reçu une femme qui avait pris 40 kilos!!!! suite à une rupture professionnelle hyper douloureuse couplé d'un deuil familial.....c'est dingue !!!. Elle a entrepris une thérapie et là , elle a perdu 20 kilos , mais c'est hallucinant , non? Quelqu'un de tout à fait sensé et intelligent, qui a en plus était totalement consciente de ce qui se passait sans pouvoir inversé le truc....
c est une certitude pour bcp,dont moi :o)
RépondreSupprimerbonne semaine
J'ai eu du mal à l'admettre et maintenant, c'est d'une telle évidence. Bonne semaine à toi aussi.
SupprimerJ'en suis profondément convaincue... #jesaisdequoituparles <3
RépondreSupprimerJe suis touchée que ce dessin fasse écho. #mercidetonmessage
SupprimerBonsoir,
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ce dessin qui me parle beaucoup.
Je me suis permise en citant votre blog de le partager sur le mien. Si cela vous ennuie, dites le moi.
Merci pour votre très chouette blog !!
Pas de problème Amandine. Bonne soirée
SupprimerC'est tellement ce que je ressens.
RépondreSupprimerPasse une belle semaine
Ciloucr
Merci Ciloucr, cela me touche de savoir que mon ressenti est partagé.
SupprimerMalgré tous mes essais (même chirurgicaux) pour enlever ma "carapace de graisse" je reviens toujours au confort qu'elle me procure (eh oui...pour moi j'en viens à me dire que ça me réconforte et me sécurise)
RépondreSupprimerDonc je suis 1000% fois d'accord avec cette illustration !
Je suis un peu triste de lire que même les essais chirurgicaux n'en viennent pas à bout. Je n'arrive pas encore à me dire que cela est un confort. Merci de votre témoignage Claire.
SupprimerTout à fait d'accord, lorsque la vie qu'on vit fait trop mal, l'armure protège, mais pour combien de temps ? c'est ma question actuellement.
RépondreSupprimerMoi je me demande, comment faire tomber cette armure sans en reprendre une autre. Bonne soirée.
SupprimerEn ce moment je réfléchis aussi à la chirurgie mais je me conforte lâchement dans cette armure :/
RépondreSupprimer"Des fois"? :) Moi je dirai : tout le temps.^^ Plus sérieusement, moi c'est la thérapie qui m'a aidée à me sécuriser autrement (même si la nourriture reste un doudou parfois).
RépondreSupprimerMoi aussi, je dirais "tout le temps", et j'ajouterais, comme dans une chanson : "ça s'en va et ça revient". Les kilos perdus sont revenus, plus ou moins rapidement. Ceux enlevés par la liposuccion ont mis 3 ans pour revenir petit à petit... même à 65 ans difficile de se faire une raison...
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup tes dessins, Clémentine, ils viennent du cœur, sont très réalistes et très touchants.
Complètement d'accord !!! Perso, j'y vois aussi un côté "molletonné" et confortable lorsque mes filles étaient petites et qu'elles passaient leur temps SUR moi ;) ça permet aussi de se "cacher", paradoxalement, car les gens ne nous regardent pas (dans les yeux) ... etc etc.
RépondreSupprimerIl m'a fallu un paquet d'années pour "accepter" mes rondeurs, car je n'étais pas prête à baisser mon armure ... je crois que je commence à être prête, et suite à un burn-out, je commence à "m'attaquer" à ce que ça signifie vraiment, tout ça ... on verra ce que ça donnera !! mon objectif n'etant pas de perdre mes rondeurs, mais "juste" (ah ah ah) me sentir bien dans ma VIE.
Bonjour Clémentine, bonjour à toutes, Je vais exprimer un point de vue un peu dissonant : je n'aime pas tellement cette idée des kilos comme armure, en filigrane il y a comme l'idée que les gros.ses sont fragiles, mal dans leur peau... et finalement un peu bizarres, au moins sur le plan de la psyché. Comme si être gros, ça pouvait se soigner au même titre que la folie se soigne, au même titre qu'on pensait autrefois que l'autisme se soignait par la thérapie.
RépondreSupprimerPourquoi ne pas rendre responsables plutôt la génétique, les perturbateurs endocriniens, ou tout simplement le bonheur de vivre et de ne pas trop regarder à la dépense calorique ?
Et puis, souvenez-vous, autrefois, être gros, ça signifiait être riche... en en Afrique, une femme grosse est une femme belle et une femme sage... Qu'être gros.se signifie être fragile émotionnellement aujourd'hui n'est guère plus étayé à mes yeux que quand il signifie être riche ou être beau, c'est juste encore de la biopolitique, une autre façon d'édicter la norme sociale.
Bref. bonne journée :).
dans le cadre de mon boulot, j'ai reçu une femme qui avait pris 40 kilos!!!! suite à une rupture professionnelle hyper douloureuse couplé d'un deuil familial.....c'est dingue !!!. Elle a entrepris une thérapie et là , elle a perdu 20 kilos , mais c'est hallucinant , non?
RépondreSupprimerQuelqu'un de tout à fait sensé et intelligent, qui a en plus était totalement consciente de ce qui se passait sans pouvoir inversé le truc....